27/setp

Traitement didactique : obligatoire

Avant l'intervention

Recueil d'info connaissance de l'apsa

Intro : consiste avoir des infos sur le territoire

500000 licenciés au judo (700000 à une époque) •

Très représenté sur le territoire

Taux de renouvellement des licences ( 50 % quitte/vienne)

Très représenté sur le territoire Français (France)

Taux de renouvellement des licences ( 50 % quitte/vienne)

Judo présent dans le milieu scolaire ? pas trop (plutôt lutte) activité à risque

Activité reconnu (médiatique) même si les règles pas forcément compris par le grand public

Sauvé par les perfs des judokas français

1

Politique sportive de dev a joué un rôle = réservé au milieu urbain, aux initiés ( année 80: politique de création de club mais mang de prof)

Politique fédé a implanté des dojo un peu partout (salle des fêtes).

Attiré par la caté lourd ( David douillet teddy riner )

Equipe représentée

Monter le tatami : parti associatif

Expans® des licenciés est venu chez les gens (comme tennis) 

Valeurs et représentant : ENJEU DE FORMAT

Penser comme un sport pas un art martial

Penser Comme une méthode éducative

Recherche de disciplines ( ordre et rigueur ) ( car exigeante (dangereuse))

pour les enfants

Demander par les parents de booster ou de les recadrer les enfants

Protocole : tenue, lieu (tatami), l'enseignant, not® de grade

Attribut de valeurs: courage modestie sincérité anxiété contrôle de soi

Code d'honneur :Effet publicitaire

Note de respect: possibiliTÉ de faire mal ( contraindre l'adversaire d'une certaine façon en respectant l'intégraliTÉ de l'adversaire)

Acte de combat reste un jeu ( dépourvu de situat" guerrière)

Association de protocole de salut : ouverture et fermeture du combat

Salut général : lancet de l'ouverture d'une séance

Législat : proportionnalité entre attaque et défense

• le but du jeu c’est de faire tomber et d'accepter de se faire tomber 
• associer un protocole de salut : saluer = ouvrir le combat! 
• pour le lancer de l’ouverture du Judo on se met sur les bords et on salu
• un sportif de haut niveau ne peut pas se servir de ces techniques sur d’autres individu, même si celui ci lui vole un truc on ne peut pas se venger, on sera poursuivi pour agression 

valeurs : code morale 

 enjeux de formation/ mécanisme 

1. le salut

• le corps est contraint à s'incliner, on s’incline pour montrer du respect et la sympathie à son partenaire 

1. rigueur vestimentaire  

• il y’a une rigueur vestimentaire, tous dans la ceinture et un JUDOGI blanc, propre, sans mauvaise odeur : forme de respect pour mon adversaire 
• a force de le faire on intègre cette attitude 

1. pour le DOJO 

• on entre dans le DOJO on porte le judogi, on apporte le comportement adéquat du lieu 
• code commun assortie à des règles communes, code vestimentaire, code comportemental 

1. les lieux religieux 

• code vestimentaire en fonction du lieu 
• différente forme de salut en fonction des lieux : dans certains lieux cultes on salue dès l’entrée 
• on ne crache pas au sol, ne saute pas partout, on se comporte avec le comportement attendu en fonction du lieu 

1. valeur de courage :accepter de d’avoir de l’impact sur le corps, tomber se relever en continue, accepter la blessure ( forme d’humilité ) 

• le JUDO apprend à se confronter aux autres, 
• apprendre de l’autre, réciprocité des faits : “oeil pour oeil dent pour dans” “ un coup à toi, un coup à moi” 
• notion d’équilibre : accepter que l’autre nous fasse mal pour pouvoir lui faire mal aussi : sentiment d’équilibre 
• choix du partenaire : prendre un adversaire qui nous respect qui accepte de jouer le jeu 
• TORI est responsable de son HUKE : on est responsable de notre partenaire, si on prend une personne qui ne veut pas jouer le jeu, on est responsable. TORI : celui attaque UKE : celui qui reçoit 
• relation et manière de se comporter doivent être équilibrer 

1er partie: analyse du JUDO comme pratiques d'expertise 

• def: le judo c’est un sport de combat de préhension,  qui se pratique avec un adversaire, est un JUDOGI : le jeu entraîne des mouvements particuliers, sans le judogi on se désirer du corps 

dans un DOJO sur un TATAMI, arbitrait par un arbitre central de juge de point et sur un temps impartie

• logique interne de l’activité : ce qu'il faut faire pour gagner : en JUDO projeter l’adversaire sur le dos avec force vitesse et contrôle, et/ou immobiliser et/ou le contraindre à l'abandon : exclusivement par clé de coude et strangulation 
• réglementation : comment faire pour mettre des avantages ou des pénalités/ correspondance entre les deux, on peut un combat car on a trop de 
• Avantages : ippon = 1pts : tomber sur le dos avec force vitesse et contrôle et/ou immobiliser avec clé de coude et strangulation 

               WAZA ARI = faire tomber sur le dos immobiliser ( l’arbitre annonce Osawari ) qui commence à 10 secondes jusqu'à 19 secondes. marquer 2 WAZA ARI on marque des points 

            KINZA : avantage qui ne sont considéré comme des points mais sont comptabilisé, tentative d'immobiliser qui n’a pas 

• Pénalité : deux cas de figure, soit la non combativité, 
• plus grosse pénalité : HANSOKU MAKE = disqualification pour attitude irrespectueuse -> peut mener en conseil de discipline ex/ teddie rené JO, ou vomir sur le tatami 
• rubrique / cas de figure 
• sortie du tatami volontaire : sanction 
• attaque/ action irrégulières : chaque technique a un sens de la technique : quand on essaye de faire tomber par devant, on ne peut pas changer et faire tomber sur le dos sinon -> HANSOKU MAKE 
• lors l’attaque la tête ne doit ni toucher ni être orienté vers le tatami, l'attaquant doit apprendre sa technique sans savoir a mettre de danger son adversaire  sinon -> HANSOKU MAKE 
• comportement irréguliers : pas le droit de frapper ni donner des coups, maladresse peut conduire à un MATE -> HANSOKU MAKE. ON N’A PAS LE DROIT DE PARLER, On ne conteste pas la décision de l’arbitre. Se déshabiller volontairement, on doit toujours être en tenu quand on revient sur le tatamis, la ceinture doit être bien attacher pour ne pas risquer d'être enlever durant le combat 
• 3 SHIDO donne disqualification 

-> sortie involontaire : reculer et sortir du tatami sans faire exprès. 

 -> Non combativité : si on attaque pas assez on considère qu'on est entrain de  truqué le combat, manque d'attaque 

-> fausse attaque : si on prend/exploite pas une bonne occasion  attaque l'arbitre peut arrêter le combat 

-> saisie irrégulières : ex/ attaquer dans les jambes  = debout a pas le droit de saisir les jambes. si on fait une saisie à la ceinture, on est obligé d’attaquer on ne peut pas bloquer. pas le droit de mettre la jambe dans la ceinture, pas le droit de mettre la tête tout ex/ mettre la tête dans les jambes et l'étrangler. Pas le droit au clé de coup 

-> Action irrégulière ex/ rater une attaque et mettre un coup de genou sur le visage, on peut être prévenu mais la 2eme fois = MATE SHIDO. 

• principe opérationnel fondamentaux 

1. principe d’action réaction : par une action que l’on fait on crée une réaction que l’on exploite à notre avantage ex: pousser on sait qu’il va revenir vers l’avant 
2. principe de déséquilibre : but de projeter l’adversaire, convient de combiner un des coups de force dans l’un des 3 plans avant-arrière, haut-bas, droite-gauche. et/ou réduction de l’espace  et/ou une suppression d’appuie ex/ cas de laraitsonagi = technique d’attaque  de l’avant vers l'arrière ou la gauche 
3. principe de retournement contrôler : pour renverser il faut fixer une partie du corps de l’adversaire soit au sol soit sur son propre corps et on exerce des forces autour de ces points de fixation ce qui crée un axe de rotation autour duquel le corps du partenaire bascule = sans ca pas de points 

force de tirer, force de de pousser, force de contre poid 

1. principe d’opposition de mouvement : accrochage solide sur le partenaire en concentrant. le point est soit sternal = SHIHO GATAME soit costale = GESA GATAME . en abaissant son centre de gravité, en ayant la base d’appuie au sol la plus large possible.

                         une position qui ne répond pas à tout ça : tatchi gatame

1. principe d’association, dissociation de ceinture : pour construire une prise on utilise une articulation bras, jambes, tronc. En optimisant le rôle/fonction de chacune du corps. 
2. principe de sens de l'orientation des forces : sur le versant des sensations perceptions, le judoka doit être capable de définir/déterminer l'orientation des forces qui séxerce sur lui, d’en déduire une résultante des forces pour pouvoir s'extraire de cette  application de force. 

• Analyse du judo comme contexte éducatif 
• programme : intervention dans un contexte éducatif 
• enjeux de formation/activité : adéquations avec le programme de structure ex/ milieu carcéral aider ceux qui vont sortir de prison à reprendre un rythme de vie normal ( se lever, aller travailler = bien se comporter ) -> enjeu d'être à l'heure bien porter le judogi  Proposer des choses plus singulière/ rapport à l'autre 
• ressource sollicitée : l'activité sollicite, ressource sollicitée par l’activité physique : 1er -> La force : on prend en compte le fait qu'on prend en charge le poids du corps de l’adversaire, haute résistante car on a notre poids du corps + celui de l’adversaire. le Judo est une pratique de mouvement ( Forte  résistance = forte exécution ) -> endurance de force -> en JUDO lorsqu'on est en saisie, en isométrie sur les avants bras ( les doigts ) 
• Coordination / Blum : l’accouplement de mouvement ->capacité d'associer different mouvement technique les un par apport aux autres 

capacité d’orientation spatio temporel -> capacité de modifier la position et le mouvement du corps dans l’espace et dans le temps par apport à une situation d'opportunité, entraine des ré-ajustations de mouvement permanent car on est tout le temps en mouvement 

capacité de différentiation kinesthésie : ce qui nous donne les intensités de capacité musculaire, cette capacité nous donne u control fin des paramètres dynamique, temporel et dynamique du mouvement et donc les exécutions sollicite un niveau de tensions musculaire adapter a la situation. cette capacité est déterminante dans le dosage des, tout comme le relâchement musculaire = voir si lorsqu'on agis on met ou assez d'energie 

capacité d'équilibre -> permet de maintenir le corps dans une position équilibré et/ou de récupérer son équilibre 

capacité de réaction -> permet de réagir à des stimulées par des réactions adéquat elle s’appuie sur des signaux connu ou inconnu = ensemble de signaux qui nous dise ce qui se passe en fonction  de ces différents signaux on a une reaction saint 

capacité rythmique permet d’organiser les actions dans le temps et dans l’espace selon le rythme nécessaire a la situation/technique/réalisation ex/ lancer de disque le vent reste pareil dans pas de changement de rythme ////// au judo on s'adapte à l'adversaire donc le rythme d'exécution change 

capacité de transformation du mouvement   -> face à un imprévu on doit être capable de modifier un mouvement en cours d'exécution

• Autre qualité : la vitesse 
• la vitesse action 
• vitesse de réaction 
• vitesse d’intervention : contextualiser a une opportunité, une vitesse adapté au système du jeu 
• vitesse psycho cognitive : ex/ lorsqu'on doit avoir une vitesse de réaction, on déclenche une réaction lorsqu'on reçoit un action 
• vitesse de perception : vitesse à laquelle on perçoit l'information 
• vitesse de traitement de l’information/traitement de l’information
• vitesse de décision 
• Mobilité/ souplesse 
• voie d'adaptation 

• filière énergétique : puissance aerobic PA -> 4’  

                                                              FC = fréquence cardiaque  : 180,185 pul/min 

        indicateur                                      FCmax -> 6 min 

        qui permette de dire les capacités du judoka 

lactatémie

• abilité/ressource technique fondamentales :  
• savoir chuté : consiste à lutter contre certains réflexe comme savoir rentrer la tête 
• projection
• déplacement : déplacement a une configuration particulière au JUDO ( jambes écartées pour la stabilité -> autant que possible on ne les ressert pas, jambes fléchies pour un centre de gravité plus stable, répartition du corps sur les deux appuies, poids du corps sur les pointes de  pieds ) 
• la saisie : saisie l’autre par le judogi, au sol on a droit à faires des saisis qu'on a pas le droit de faire étant debout 

3) L’analyse du judo qui s’enseigne pour que l’élève apprenne 

• paramètres pédagogique : but de tâche -> indiquer des actions qui se déroule dans une organisation particulière ex/”projette le”
• il y’a un niveau d’opposition/cooperation 
• durée de la tâche 
• choix des partenaires : + on de choix de partenaire + on développe des techniques différentes, si on garde le même partenaire celui ci réagira toujours pareil 
• surface : cette surface gère la sécurité 
• arbitre : on lui donne un rôle, il y’a de forte chance qu'il mette de l'enjeu ( gagner, perdre) -> de base le judo c’est une pratique libre car il nya pas de tiers prsn qui agisse sur notre combat 

• situation de coopération 
• situation de opposition 
• situation résolution de problème 
• situation de répétition : pour savoir automatisé la réaction 
• situation de recherche personnel 
• exercice ->  GEKOS 
• UKEMIS (brise chute ) exercice de chute seule, sert à conserver une tonicité du corps et prendre l'automaticité de la chute  -> peut être MAKEMI face ; USHIRO ; YOKO 

• 
• TENDOKV RENSHYU exercice seule ou on imagine notre partenaire 

intérêt : ne pas avoir le poids du corps de l’autre, bien pour l'échauffement

• SOTAI RENSHYU : entraînement à deux, où on travaille ensemble sans opposition. L’un fait la technique (**Tori**), l’autre la reçoit (**Uke**). Le but est de répéter les mouvements pour mieux les apprendre et les corriger avant de les utiliser en combat.
• UCHI KOMI : 2 phases KUZUSHI( prepartion désequilibre ) TSUKURI ( placement ) 
• NAGE KOMI - >  Perfectionnement e
• GAKARI GEIKO : exercice à thème : jeu de rôle 
• YAKU SOKU GEIKO : les deux combattant mais le degré d'opposition est baissée pour que l’autre puisse travailler, on ne résiste pas trop, exercice plus souple
• RANDORI : sans arbitres, les opposants se choisissent eux même 
• SHIAI : combat de compétition, avec des règles d’arbitrages normal
• 
  
• 
  
• 
  

### Q1: Quelles différences Jigoro KANO a-t-il voulu entre le Judo et le Jujitsu (6 axes de réponses) ?

1. **Dimension éducative** : Jigoro Kano voulait que le judo soit plus qu'un art martial, il l'a conçu comme une méthode éducative pour développer des qualités morales telles que le respect, la modestie et la maîtrise de soi, contrairement au jujitsu, qui était davantage centré sur des techniques de combat.

2. **Sécurité** : Kano a modifié les techniques du jujitsu pour rendre le judo plus sûr. Il a éliminé les mouvements dangereux comme les frappes et certaines clés articulaires pour éviter les blessures lors de la pratique sportive.

3. **Compétition sportive** : Kano a transformé le judo en une pratique compétitive avec des règles strictes (ex : interdiction des frappes), ce qui n'était pas le cas dans le jujitsu, où l'accent était mis sur la défense et la neutralisation de l'adversaire, sans cadre compétitif.

4. **Protocole et discipline** : Le judo inclut un code de conduite rigoureux (salut, tenue vestimentaire, respect des règles). Cette formalisation n'était pas présente dans le jujitsu, qui était souvent plus informel et varié selon les écoles.

5. **Objectifs physiques et moraux** : Le judo est conçu pour promouvoir l'équilibre physique et mental, avec des valeurs comme l'entraide et la prospérité mutuelle ("Jita Kyoei"), alors que le jujitsu visait principalement à défaire un adversaire de manière efficace sans dimension éducative ou morale.

6. **Internationalisation et popularisation** : Kano a adapté le judo pour qu'il puisse être enseigné et pratiqué partout dans le monde, tandis que le jujitsu, dans sa forme originale, restait ancré dans la culture japonaise et n'avait pas vocation à s'exporter aussi largement.

---

### Q2: Quelles sont les 5 familles d'attaques en Tachi Waza et les 3 familles d'attaques en Ne Waza ?

**Tachi Waza (techniques debout)** :

1. **Te Waza (techniques de bras)** :  

   Exemple : **Ippon Seoi Nage** (projection par-dessus l'épaule).

2. **Koshi Waza (techniques de hanches)** :  

   Exemple : **O Goshi** (grande projection de hanche).

3. **Ashi Waza (techniques de jambes/pieds)** :  

   Exemple : **De Ashi Barai** (balayage du pied avancé).

4. **Ma Sutemi Waza (techniques de sacrifice sur le dos)** :  

   **Sans illustration** (ex : Tomoe Nage).

5. **Yoko Sutemi Waza (techniques de sacrifice sur le côté)** :  

   **Sans illustration** (ex : Yoko Gake).

**Ne Waza (techniques au sol)** :

1. **Osaekomi Waza (techniques d'immobilisation)** :  

   Exemple : **Kesa Gatame** (immobilisation en écharpe).

2. **Shime Waza (techniques d'étranglement)** :  

   Exemple : **Hadaka Jime** (étranglement sans le gi).

3. **Kansetsu Waza (techniques de clé articulaire)** :  

   Exemple : **Ude Garami** (clé de bras en torsion).

---

### Q3: Quelles sont les sanctions en SHIDO? (5 motifs d'attribution). Combien faut-il de SHIDO pour être disqualifié ?

1. **Non-combativité** : Si un combattant ne prend pas d'initiative d'attaque pendant une période prolongée, il peut être sanctionné pour manque d'activité.

2. **Sortie volontaire du tatami** : Si un combattant sort intentionnellement du tatami pour éviter un combat ou une technique, il peut recevoir un Shido.

3. **Fausse attaque** : Réaliser une attaque qui n'a pas pour but réel de projeter l'adversaire, mais juste pour donner l'impression d'attaquer, peut être sanctionnée.

4. **Saisie irrégulière** : Saisir les jambes directement ou utiliser des techniques interdites (par exemple, saisir la ceinture sans intention d'attaquer).

5. **Action irrégulière** : Toute action dangereuse ou irrégulière, comme frapper ou utiliser des techniques interdites, peut mener à un Shido.

Un judoka est disqualifié après **trois Shido**, ce qui donne un Hansoku Make (disqualification).

---

### Q4: Quels sont les principes des sorties d'une immobilisation ?

1. **Déséquilibre de l'adversaire** : Pour sortir d'une immobilisation, il est essentiel de déséquilibrer l'adversaire en utilisant des mouvements de hanches, de jambes ou des torsions du corps pour casser son centre de gravité.

2. **Création d'espace** : L'objectif est de créer de l'espace entre soi et l'adversaire, que ce soit en poussant ou en utilisant des mouvements de rotation pour desserrer la prise de l'adversaire.

3. **Utilisation de la force de l'adversaire** : Comme dans beaucoup de techniques de judo, il s'agit de retourner la force de l'adversaire contre lui en exploitant les moments où il relâche ou déplace son poids.

4. **Changement de position** : Il est souvent nécessaire de changer sa position rapidement, par exemple en basculant d'un côté à l'autre ou en faisant un pont (appelé "pontage"), afin de se dégager de la pression exercée par l'adversaire et ainsi se libérer. 

La notion de systéme d’attaque 

l’ensemble des techniques/actions articulées autours du TOKUI WAZA en vu d'optimiser ses attaques ( pour faire tomber ou immobiliser, armlocker, étrangler ) 

• c’est une construction stratégique du combat 
• cela va du KINZA qui est un petit avantage qui ne donne pas de point mais pourrait avoir une grande importance si il devait y avoir une égalité et qu’il fallait compter des petits points/ details 
• étapes 1 ( tachi waza/ travaille debout  )  
• 1: l’approche : comment on arrive à se rapprocher de l’adversaire pour pouvoir le saisire ( posture, condition de déplacement )  
• 
•  2:  Kumi Kata ( épaule, forme ) 
• 2 objectifs : 1er : application de force 2eme : prise d’information 
• 2 forme : traditionnelle : permet de faire toute action sans technique précise 
• 3 : déplacement : 
• le judo est un sport de déséquilibre/ but -> tout faire pour ne pas être déséquilibré  
• décalage des pieds pour plus de stabilité, jambe fléchies permettent de repousser le sol avec les appuies 
• abaissement du centre de gravité 
• ne pas croiser les jambes lors du déplacement 
• principe de déplacement des pieds : le pied le plus proche du sens du déplacement avance et l’autre pied se ramène 
•  4: Nage waza : 
• Te Waza : technique de bras ex ( ippon si o nage )
• Koshi waza/ gochi waza : grand renversement de hanches 
• Ashi waza : technique de jambe ( ko uchi gari; o uchi gari )
• Ma sutemi : technique de sacrifice ( face ) : sacrifier son corps en tombant sur le dos 
• Yoko sutemi Waza : technique de sacrifice ( tomber sur le côté ) 
• 
• forme d'attaque : 
• attaque direct : fait par les débutant et les hauts niveaux  ( soit une préparation )  
• attaque enchaîné : succession de vraies attaques 
• axe des attaques : les axes de déséquilibre sont complémentaire : 
• l'attaque que l’on porte sur l’autre peut actionnée une esquive 
• le sens du déséquilibre du judoka ( tracer une ligne en les 2 talons ) la perpendiculaire de la ligne des pieds définis le sens du déséquilibre 
• l’esquive d'une attaque c'est de reculer la jambe attaquer 
• attaque redoubler : on ne redouble pas de technique d’attaque arrière 
• technique en combinaison : préparation d’attaque en utilisant une première attaque 
• la confusion : 
• question : quels sont les avantages et inconvénients de ces différentes formes d’attaque ? 

1. Attaque directe

• Avantages :
• Simple à exécuter, surtout pour les débutants, ce qui permet de prendre confiance.
• Efficace lorsqu’elle est bien préparée et exécutée par des judokas de haut niveau.
• Permet de tester la réaction de l'adversaire et d'évaluer son équilibre.
• Inconvénients :
• Prévisible si elle n’est pas accompagnée d'une préparation ou feinte, ce qui la rend facilement contrable.
• Peut exposer le judoka à une contre-attaque si elle manque de rapidité ou de précision.

2. Attaque enchaînée

• Avantages :
• Permet de maintenir la pression sur l’adversaire en l'empêchant de se stabiliser ou de contre-attaquer.
• Améliore la probabilité de réussite en multipliant les tentatives, chacune augmentant le déséquilibre de l’adversaire.
• Inconvénients :
• Exige un bon niveau de condition physique pour enchaîner efficacement les attaques sans se fatiguer.
• Peut mener à des attaques moins précises si le rythme est trop rapide, augmentant les risques d’erreurs.

3. Axe des attaques et esquives

• Avantages :
• Permet de profiter du sens de déséquilibre naturel pour amener l’adversaire vers une position vulnérable.
• La connaissance des axes de déséquilibre facilite les esquives et rend les attaques plus stratégiques.
• Inconvénients :
• Nécessite une bonne compréhension du corps et de l’équilibre, ce qui peut être difficile pour les débutants.
• Si l’adversaire anticipe les axes d’attaque, il peut lui-même préparer des contre-attaques ou des esquives.

4. Attaque redoublée

• Avantages :
• Crée une opportunité pour tromper l’adversaire et profiter de son déséquilibre si l'attaque redoublée est variée.
• Efficace pour maintenir la pression sans répéter les mêmes attaques qui pourraient devenir prévisibles.
• Inconvénients :
• Redoubler une technique d’attaque arrière est moins efficace, car cela réduit l’effet de surprise.
• Exige une bonne stratégie pour alterner les attaques sans se répéter, ce qui demande de la pratique et de la réflexion.

5. Technique en combinaison

• Avantages :
• Utiliser une première attaque pour préparer la suivante peut perturber l’adversaire et briser son équilibre.
• Donne une flexibilité stratégique pour adapter la combinaison en fonction de la réaction de l’adversaire.
• Inconvénients :
• Nécessite une bonne coordination et un timing précis pour enchaîner les attaques sans temps mort.
• Peut être difficile à maîtriser pour les débutants, car elle requiert une compréhension des enchaînements et des réactions adverses.

6. Confusion

• Avantages :
• La confusion augmente les chances de succès en déstabilisant mentalement l’adversaire, le rendant moins réactif.
• Efficace pour prendre un avantage psychologique, surtout si l’adversaire hésite ou réagit de manière imprévisible.
• Inconvénients :
• Peut être risqué si l'adversaire reste calme et trouve une ouverture pendant que le judoka tente de créer la confusion.
• La gestion de la confusion demande une certaine expérience pour ne pas se perdre dans ses propres mouvements.

Forme d’entrée 

liaison debout-sol : Nagé waza 

entre la position debout de l’un et la position au sol de l’autre 

possibilitée

nage waza 

liaison 

ne waza 

1. attaque 
2. tombe
3. attaque 

1. attaque 

b.va au sol 

1. attaque 

1. attaque 
2. va au sol
3. attaque 
4. attaque 
5. va au sol 

      b. attaque 

1. attaque 
2. va au sol 
3. attaque 
4. attaque 
5. va au sol 
6. attaque 

Osae waza : famille des immobilisation 

• hon gesa gatame 
• kuzure gesa gatame 
• yokusu gatame 

shime waza : étranglement 

• sankaku : etranglement avec les jambes 

juji gatame : contrôle en croix 

ude garami : 

le sol se caractérise par 3 termes : 

• la mobilité 
• le contrôle
• la continuité

principe d'opposition de mouvement :  consiste à utiliser la force ou le mouvement de l’adversaire pour le déséquilibrer ou le faire chuter. Plutôt que de résister à l’adversaire, on cherche à exploiter son énergie en utilisant une direction opposée ou perpendiculaire.

Exemples :

• Lors d’un tirage brusque par l’adversaire, le judoka peut se laisser légèrement entraîner tout en changeant de direction pour prendre le contrôle.

principe de retournement contrôlé :  souvent utilisé au sol (ne-waza) pour renverser un adversaire immobilisé ou en position défensive, afin de le mettre en position de soumission ou de contrôle. Ce principe consiste à appliquer un mouvement et une pression spécifiques pour retourner un adversaire, tout en gardant le contrôle de ses mouvements pour qu’il ne puisse pas se défendre efficacement.

Exemples :

• Kesa Gatame (immobilisation latérale) peut être utilisé pour retourner un adversaire couché en position de défense en utilisant la pression sur le bras et le torse.

• Dans un Shime-waza (étranglement), on peut d’abord retourner l’adversaire pour le placer dans une meilleure position pour exécuter l’étranglement.

cas de figure au sol : prendre le tableau 

système de défense : toutes les actions visant à contrecarrer les actions offensives et attaque de l’adversaire : 

• si on défend de façon excessive on est sanctionné 
• la défense commence dès l'approche
• posture très rigoureuse  pour ne pas se faire attraper 
• on évite toute erreures de déplacement :ex/ les croisements des pieds 

kumi kata : on se laisse pas attraper en repoussant toutes les mains du partenaire 

si on est attrapé, on fait le lâcher : si on fait un lâcher en deux mains on doit conserver la saisie. 

si on ne reussi pas le lacher : 

ou attaquer en premier : 

2 type de défense : 

• le blocage : mettre une force contraire à toutes attaque de l’adversaire, le blocage est une opposition de force 
• l’esquive : on ne s’oppose pas à la force de l’autre mais on la surpasse, l’esquive suppose la capacité d’anticipation  

• Le système de défense doit permettre l’initiative. 

• on peut utiliser les techniques de contre ex/ ura nage ; tegu ruma  

sen no sen : attaque par l’attaque 

les actions de défense par apport à la liaison debout-sol : la meilleure défense c'est de faire face au partenaire et de rester mobile 

HISTOIRE DU JUDO 

Jigoro Kano (1860-1938) est le fondateur du judo, un art martial japonais qui a révolutionné la pratique des arts martiaux en mettant l’accent sur l’éducation physique, mentale et morale.

Biographie

• Naissance : Jigoro Kano est né le 28 octobre 1860 dans une famille aisée à Mikage (aujourd’hui partie de Kobe, Japon).

• Éducation : Kano a étudié à l’Université de Tokyo, où il s’est spécialisé en littérature, en sciences politiques et en économie.

• Arts martiaux : Passionné par les arts martiaux traditionnels comme le jujitsu, Kano a étudié sous différents maîtres, notamment Fukuda Hachinosuke et Iso Masatomo, pour maîtriser le jujitsu.

Création du Judo

En 1882, Jigoro Kano a fondé le “Kodokan judo” à Tokyo, l’école où il a développé le judo, qui signifie littéralement “la voie de la souplesse” (ou “la voie de l’adaptabilité”). Il a adapté et simplifié les techniques du jujitsu, en supprimant les mouvements dangereux et en structurant un système qui privilégie l’efficacité technique, la sécurité et l’éducation.

Philosophie du Judo

Kano a voulu faire du judo plus qu’un simple art martial. Il l’a conçu comme une discipline éducative et éthique basée sur deux principes fondamentaux :

1. Seiryoku Zenyo : “La meilleure utilisation de l’énergie.” Cela signifie maximiser l’efficacité de chaque action en utilisant l’énergie de manière rationnelle.

2. Jita Kyoei : “Prospérité mutuelle.” L’idée est que la pratique du judo doit être bénéfique à la fois pour l’individu et pour la société.

Contributions et impact

1. Éducation physique : Kano a intégré le judo dans les systèmes éducatifs japonais, convaincu qu’il pouvait développer à la fois le corps et l’esprit.

2. Olympisme : Il a été le premier Japonais membre du Comité International Olympique (CIO) et a joué un rôle clé dans l’introduction des sports japonais sur la scène internationale.

3. Reconnaissance mondiale : Sous son influence, le judo est devenu un sport mondial, reconnu officiellement comme discipline olympique en 1964.

Le judo est pratiqué par des millions de personnes dans le monde entier, non seulement comme un sport, mais aussi comme une philosophie de vie. Le Kodokan reste une institution de référence pour les judokas du monde entier.

ses princes : 

• je judo est un sport avec des compétitions amicals et non un règlement 
• le judo est une éducation physique et morale 
• je judo se fera dans un judogi sur un tatami 
• pense une méthode d'enseignement 

méthodes de transmission développées par Jigoro Kano pour enseigner et diffuser le judo :

1. Kata

• Définition : des enchaînements codifiés de techniques exécutées de manière précise et contrôlée. Chaque kata illustre des principes fondamentaux du judo, tels que l’équilibre, le déséquilibre (kuzushi), la projection ou la maîtrise au sol.

• Objectif :

• Enseigner les bases du judo de manière théorique et formelle.

.

• Exemple : Le Nage-no-kata (kata des projections) enseigne les principes des techniques de projection

2. Randori

• Définition : une forme d’entraînement libre où les deux partenaires mettent en pratique les techniques du judo dans un contexte plus spontané et dynamique. Cela ressemble à un combat, mais sans esprit de compétition.

• Objectif :

• Développer l’adaptabilité et la fluidité dans l’application des techniques.

• Favoriser l’apprentissage par l’expérimentation en situation réelle, tout en respectant l’esprit du judo (ne pas blesser l’adversaire).

• Distinction :

• Contrairement aux katas, le randori est improvisé et interactif.

• C’est une méthode essentielle pour comprendre la mise en œuvre des techniques dans des scénarios réels.

3. Conférences dans le monde entier

• Explication : Jigoro Kano a voyagé dans de nombreux pays pour promouvoir le judo comme discipline d'éducation physique et morale. Il donnait des conférences pour :

• Expliquer les principes philosophiques du judo, comme le Seiryoku Zenyo (meilleure utilisation de l’énergie) et le Jita Kyoei (prospérité mutuelle).

• Faire connaître le judo au-delà du Japon, contribuant à en faire un art martial universel.

• Insister sur les valeurs éducatives et éthiques du judo, qui vont au-delà de la simple pratique sportive.

4. Système des grades (“des dan”)

• Définition : Jigoro Kano a introduit un système de grades (kyu et dan) pour évaluer les progrès des pratiquants.

• Grades Kyu : Pour les débutants, marqués par des ceintures de couleur (dans certains pays).

• Grades Dan : Pour les niveaux avancés, marqués par la ceinture noire et les degrés supérieurs.

• Objectif :

• Établir une structure claire pour mesurer la progression technique, physique et morale des judokas.

• Récompenser les pratiquants en fonction de critères précis, tels que la maîtrise technique, le comportement, et la compréhension des principes du judo.

• Importance : Ce système a permis d’uniformiser l’enseignement et de créer une reconnaissance mondiale des compétences.