ecrivain du XIX, œuvre majeure, rouge et le noir (1830) mais aussi très connut pour la chartreuse de Parme (1839) et autre. Ecrivain considéré comme romantique et réaliste. Ces héros sont romantique mais le cadre est réaliste.
Personnage de Julien Sorel (héro romantique) : jeune homme brun aux yeux bleus, son père s’acharne contre lui car Julien est un lecteur, il a une adoration pour Napoleon I. Tout ce passe dans Verrières. Dans cette ville Julien va avoir une ascension social et il va devenir précepteur. Mme de Rênal a peur que le précepteur va être violent. Ils vont devenir amant. Les Rênals sont royaliste mais son précepteur est Napoleonien. Julien est très fort, il a une bonne mémoire. Histoire d’amour tourmenter romantique mais il y as aussi tout un arrière plan politique. Sthendal montre qu’un jeune napoleoniens ne peut pas reussir politiquement dans une france de 1830. Stendhal aime l’armée et les sciences et la littérature.
I. Ascension bienfaisante
- Ascension physique et symbolique : montée progressive avec difficulté → imparfaits d’habitude (« prenait haleine », « se remettait à monter »).
- Itinéraire insolite : chemin peu fréquenté, connu des humbles (gardiens de chèvres).
- Paysage grandiose : « grandes roches », « roc immense », « montagnes élevées » → hyperboles.
- Isolement & introspection : séparation du regard des hommes (« sûr d’être séparé »).
- Émotion et satisfaction : « sérénité », « joie » (réconfort psychologique).
- Ascension et ambition : métaphore du feu (« brûlait d’atteindre ») pour montrer son désir d’élévation sociale et morale.
II. Introspection
- Prise de recul sur ses émotions : haine apaisée envers M. de Rênal → imparfait « qui venait de l’agiter ».
- Colère sociale : critique des riches et des « insolents de la terre » → hyperbole et pluriel.
- Indifférence croissante : gradation « château, chiens, enfants, toute sa famille » (les chiens avant la famille !).
- Conflit de classe plus que personnel : pronom « l’ » renvoie à M. de Rênal, mais son ressentiment dépasse cette seule personne.
III. Monologue intérieur et confusion
- Énonciation directe : Julien parle à la première personne (« Je », exclamation « Quoi ! »).
- Victoire incomprise : rythme haché, il ne comprend pas comment il a gagné.
- Champ lexical guerrier : « bataille », « victoire », « danger », « sacrifice » pour des gains dérisoires → ambition disproportionnée.
- Déconnexion avec la réalité : il repousse sa réflexion à plus tard (qualifie ses recherches de « pénibles »).
IV. Expression de l’ambition de Julien
- Nature et élévation spirituelle : il contemple le paysage du haut de « son » rocher (pronom possessif).
- Perspective large : « 20 lieues », cadre spatio-temporel précis (chaleur, cigales).
- Symbole de l’épervier : force, sérénité, liberté → associé à Napoléon.
- Identification à l’oiseau : répétition du verbe « envier », rêve de puissance et d’isolement.
- Intervention de Stendhal ? : interrogation finale sur le destin du héros, parallèle avec Napoléon.
Conclusion
- Chemin de traverse : Julien s’éloigne de ses préoccupations immédiates sous l’effet de la nature.
- Affirmation de l’ambition : dépassement du quotidien, aspiration à une ascension sociale.
- Héros romantique : marginalité, ambition, nature comme révélatrice de son destin.