Soient n ∈ N et p ∈ [0 ; 1]. Une variable aléatoire X suit une loi binomiale de paramètres n et p si X(Ω) = [0 ; n] et si, pour tout k ∈ [0 ; n], on a P(X = k) = (nk) pk (1 − p)n−k .
On note alors X ֒~> B(n, p)
Soient n ∈ N et p ∈ [0 ; 1]. Une variable aléatoire X suit une loi binomiale de paramètres n et p si X(Ω) = [0 ; n] et si, pour tout k ∈ [0 ; n], on a P(X = k) = (nk) pk (1 − p)n−k .
On note alors X ֒~> B(n, p)
|« Koenig-Huygens »] X est une variable aléatoire défini sur un univers fini alors V (X) = E(X² ) − (E(X))²
1. Pour des réels a, b et X admettant une variance : V (aX + b) = a²V(X).
2. V (X) > 0.
3. V (X) = 0 si et seulement si X est constante (certaine).
Soit n ∈ N ∗ et X ֒~> U([1 ; n]). On a E(X) = (n + 1)/2 et V(X) = (n² − 1)/12 .
Soit p ∈ [0 ; 1] et X ֒~> B(p). Alors E(X)= p et V(X)= p(1 − p).
Soient n ∈ N* , p ∈ [0 ; 1] et X ֒~> B(n, p). Alors E(X) = np et V(X) = np(1 − p).
Soient n ∈ N, p ∈ [0 ; 1] et X1, · · · , Xn une famille de variables aléatoires mutuellement indépendantes suivant une loi de Bernoulli de paramètre p. Alors si X = X1 + X2 + · · · + Xn, on a X ֒~> B(n, p)
Soient n ∈ N et p ∈ [0 ; 1]. Une variable aléatoire X suit une loi binomiale de paramètres n et p si X(Ω) = [0 ; n] et si, pour tout k ∈ [0 ; n], on a P(X = k) = (nk) pk (1 − p)n−k .
On note alors X ֒~> B(n, p)
|« Koenig-Huygens »] X est une variable aléatoire défini sur un univers fini alors V (X) = E(X² ) − (E(X))²
1. Pour des réels a, b et X admettant une variance : V (aX + b) = a²V(X).
2. V (X) > 0.
3. V (X) = 0 si et seulement si X est constante (certaine).
Soit n ∈ N ∗ et X ֒~> U([1 ; n]). On a E(X) = (n + 1)/2 et V(X) = (n² − 1)/12 .
Soit p ∈ [0 ; 1] et X ֒~> B(p). Alors E(X)= p et V(X)= p(1 − p).
Soient n ∈ N* , p ∈ [0 ; 1] et X ֒~> B(n, p). Alors E(X) = np et V(X) = np(1 − p).
Soient n ∈ N, p ∈ [0 ; 1] et X1, · · · , Xn une famille de variables aléatoires mutuellement indépendantes suivant une loi de Bernoulli de paramètre p. Alors si X = X1 + X2 + · · · + Xn, on a X ֒~> B(n, p)