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Post-Bac

La société aristocratique du XII au XVeme siècle

I. Aristocratie et noblesse

A) la jouissance du Ban


La noblesse féodal possède le pouvoir de Ban : L'exercice du pouvoir de commandement

Ce pouvoir vas ce distribuer l'échelle local après la chute de l'empire Carolingien ( Conte et autre seigneurs).

Cette distribution est incomplète et anarchique

En Francie la distribution du Ban se fera surtout entre le XI et le XIIIeme siècle.

En Germanie la distribution du Ban est plus limitée ( institutions religieuse).

En Italie du nord l'absence de pouvoir royal l'exercice du Ban faible.

Pour l'Espagne c'est la Reconquista qui justifie le pouvoir des seigneurs.




B) la formation d'une Noblesse guerrière


Le pouvoir aristocratique s'affirme par la naissance d'une Noblesse guerrière :

en conséquence a la militarisation du Pouvoir. La société médiéval ce constitue alors en trois ordre définie par le clergé:

Oratores ( ceux qui prient)

Bellatores ( ceux qui combattent)

laboratores ( ceux qui travaillent).

La noblesse vas ce distinguer par son rôle militaire donc mais aussi son hérédité.

ce qui justifiera leurs privilège juridique et sociaux.

L'adoubement , qui confère au chevalier son armure , devient un rite de passage essentiel.


C) la diversité des noblesses


L'aristocratie n'est pas Homogènes : haute noblesse et petite noblesse

la haute noblesse ce compose de famille ancienne et proche du pouvoir royal

La petite noblesse elle est une caste de noble récent souvent menacer de déclassement mais l'inverse existe aussi et des chevalier , des marchands ou encore des universitaire peuvent devenir Noble.


II. Les liens entre les aristocrates et la répartition des pouvoirs :

A) les éléments constitutif du lien féodal et vassalique :


Le liens féodal repose sur Trois éléments : La fidélité

l'hommage

le fief

Le vassal promet (serment) fidélité a son seigneur , s'engage a ne pas lui nuire ( fidélité passive) et a le servir ( fidélité Active). L'hommage formalise cette relation , tandis que le fief symbolise la concession d'une terre en échange. Le liens reste flexible , un vassal a plusieurs seigneur , et le liens peut être rompu en cas de trahisons.


B) Variété et fluidité des situations réelles :


Les relation féodale reste tout de même fluide : tout les chevalier ne sont pas concerner par ce schémas et a contrario des clercs peuvent l'être.

Relation imposer par les forts sur les faibles.

renforcement par des alliances matrimonial

complexité empêche la création d'une hiérarchie strict dans la féodalité.



C) L'ambiguïté du fief :


L’ambiguïté du fief Le fief est parfois perçu comme une propriété du vassal, bien que théoriquement il s’agisse d’une délégation de pouvoir. En pratique, le fief devient souvent un espace de domination pour une famille aristocratique. La notion de fief, bien qu’ambiguë, est utilisée comme un instrument pour imposer une hiérarchie politique. Cela montre que le système féodal n’est pas une pyramide hiérarchique stricte, mais plutôt une nébuleuse d’alliances et de dominations fluctuantes. 

III. Mode de vie et culture aristocratiques :

A) La guerre :


La guerre est au cœur de l'identité Aristocratique .

L'ost oblige les nobles a servir leurs roi pendant 40 jours par an. passer cette période le roi a recours a des mercenaire , souvent pour palier la chute des revenus seigneuriaux. a Partir de 1440 les rois commencent a payer leurs soldat de manière permanente.


B) Les châteaux


Les châteaux symbolise la puissance aristocratique . Ils ont trois fonction :

Militaire

résidentielle

symbolique .

Différents types de châteaux apparaissent comme les mottes castrales ( collines artificielle surmontée d'une tour en bois ou en pierre) et les donjons en pierre. Exemple du château gaillard pris par le roi de France en 1204 ( Phillipe II , auguste).


À partir du XIIIe siècle, de nombreux nobles préfèrent s’installer dans des villes, notamment en Méditerranée, où les tours résidentielles deviennent un symbole de prestige.

III: Une identité aristocratique :

L’adoubement, cérémonie d’initiation au statut de chevalier, marque l’entrée officielle dans l’aristocratie militaire. Il s’accompagne de rites religieux à partir du XIIe siècle, mais devient de moins en moins nécessaire au XIIIe siècle, où le statut de noble est de plus en plus défini par des critères juridiques. L’aristocratie valorise des qualités comme la force physique, le courage et surtout la générosité. Cette générosité se manifeste par l’entretien de leurs alliés et la circulation des richesses à travers des guerres ou des festivités.


Les tournois, simulacres de guerre, deviennent une pratique caractéristique des chevaliers au XIIe et XIIIe siècles. Ces événements, qui réunissent des chevaliers pour s'affronter dans des zones définies, comme des forêts ou des prairies, ont des conséquences sociales et économiques importantes.


Par exemple, Guillaume le Maréchal, célèbre chevalier et homme d'État anglais, se fit remarquer lors de tournois, ce qui lui valut d'obtenir le titre de comte et un mariage prestigieux.


Les rois et l’Église tentent de canaliser cette force militaire aristocratique. La Réforme grégorienne, au XIe siècle, impose des règles plus strictes en matière de mariage pour empêcher les mariages consanguins, souvent utilisés par les aristocrates pour consolider leur pouvoir. De plus, l’Église et les monarques récupèrent cette énergie guerrière à travers les croisades (1098-1291), qui visent à créer des États chrétiens au Proche-Orient, et en établissant des ordres militaires religieux comme les Hospitaliers en 1113 et les Templiers en 1119.

Post-Bac

La société aristocratique du XII au XVeme siècle

I. Aristocratie et noblesse

A) la jouissance du Ban


La noblesse féodal possède le pouvoir de Ban : L'exercice du pouvoir de commandement

Ce pouvoir vas ce distribuer l'échelle local après la chute de l'empire Carolingien ( Conte et autre seigneurs).

Cette distribution est incomplète et anarchique

En Francie la distribution du Ban se fera surtout entre le XI et le XIIIeme siècle.

En Germanie la distribution du Ban est plus limitée ( institutions religieuse).

En Italie du nord l'absence de pouvoir royal l'exercice du Ban faible.

Pour l'Espagne c'est la Reconquista qui justifie le pouvoir des seigneurs.




B) la formation d'une Noblesse guerrière


Le pouvoir aristocratique s'affirme par la naissance d'une Noblesse guerrière :

en conséquence a la militarisation du Pouvoir. La société médiéval ce constitue alors en trois ordre définie par le clergé:

Oratores ( ceux qui prient)

Bellatores ( ceux qui combattent)

laboratores ( ceux qui travaillent).

La noblesse vas ce distinguer par son rôle militaire donc mais aussi son hérédité.

ce qui justifiera leurs privilège juridique et sociaux.

L'adoubement , qui confère au chevalier son armure , devient un rite de passage essentiel.


C) la diversité des noblesses


L'aristocratie n'est pas Homogènes : haute noblesse et petite noblesse

la haute noblesse ce compose de famille ancienne et proche du pouvoir royal

La petite noblesse elle est une caste de noble récent souvent menacer de déclassement mais l'inverse existe aussi et des chevalier , des marchands ou encore des universitaire peuvent devenir Noble.


II. Les liens entre les aristocrates et la répartition des pouvoirs :

A) les éléments constitutif du lien féodal et vassalique :


Le liens féodal repose sur Trois éléments : La fidélité

l'hommage

le fief

Le vassal promet (serment) fidélité a son seigneur , s'engage a ne pas lui nuire ( fidélité passive) et a le servir ( fidélité Active). L'hommage formalise cette relation , tandis que le fief symbolise la concession d'une terre en échange. Le liens reste flexible , un vassal a plusieurs seigneur , et le liens peut être rompu en cas de trahisons.


B) Variété et fluidité des situations réelles :


Les relation féodale reste tout de même fluide : tout les chevalier ne sont pas concerner par ce schémas et a contrario des clercs peuvent l'être.

Relation imposer par les forts sur les faibles.

renforcement par des alliances matrimonial

complexité empêche la création d'une hiérarchie strict dans la féodalité.



C) L'ambiguïté du fief :


L’ambiguïté du fief Le fief est parfois perçu comme une propriété du vassal, bien que théoriquement il s’agisse d’une délégation de pouvoir. En pratique, le fief devient souvent un espace de domination pour une famille aristocratique. La notion de fief, bien qu’ambiguë, est utilisée comme un instrument pour imposer une hiérarchie politique. Cela montre que le système féodal n’est pas une pyramide hiérarchique stricte, mais plutôt une nébuleuse d’alliances et de dominations fluctuantes. 

III. Mode de vie et culture aristocratiques :

A) La guerre :


La guerre est au cœur de l'identité Aristocratique .

L'ost oblige les nobles a servir leurs roi pendant 40 jours par an. passer cette période le roi a recours a des mercenaire , souvent pour palier la chute des revenus seigneuriaux. a Partir de 1440 les rois commencent a payer leurs soldat de manière permanente.


B) Les châteaux


Les châteaux symbolise la puissance aristocratique . Ils ont trois fonction :

Militaire

résidentielle

symbolique .

Différents types de châteaux apparaissent comme les mottes castrales ( collines artificielle surmontée d'une tour en bois ou en pierre) et les donjons en pierre. Exemple du château gaillard pris par le roi de France en 1204 ( Phillipe II , auguste).


À partir du XIIIe siècle, de nombreux nobles préfèrent s’installer dans des villes, notamment en Méditerranée, où les tours résidentielles deviennent un symbole de prestige.

III: Une identité aristocratique :

L’adoubement, cérémonie d’initiation au statut de chevalier, marque l’entrée officielle dans l’aristocratie militaire. Il s’accompagne de rites religieux à partir du XIIe siècle, mais devient de moins en moins nécessaire au XIIIe siècle, où le statut de noble est de plus en plus défini par des critères juridiques. L’aristocratie valorise des qualités comme la force physique, le courage et surtout la générosité. Cette générosité se manifeste par l’entretien de leurs alliés et la circulation des richesses à travers des guerres ou des festivités.


Les tournois, simulacres de guerre, deviennent une pratique caractéristique des chevaliers au XIIe et XIIIe siècles. Ces événements, qui réunissent des chevaliers pour s'affronter dans des zones définies, comme des forêts ou des prairies, ont des conséquences sociales et économiques importantes.


Par exemple, Guillaume le Maréchal, célèbre chevalier et homme d'État anglais, se fit remarquer lors de tournois, ce qui lui valut d'obtenir le titre de comte et un mariage prestigieux.


Les rois et l’Église tentent de canaliser cette force militaire aristocratique. La Réforme grégorienne, au XIe siècle, impose des règles plus strictes en matière de mariage pour empêcher les mariages consanguins, souvent utilisés par les aristocrates pour consolider leur pouvoir. De plus, l’Église et les monarques récupèrent cette énergie guerrière à travers les croisades (1098-1291), qui visent à créer des États chrétiens au Proche-Orient, et en établissant des ordres militaires religieux comme les Hospitaliers en 1113 et les Templiers en 1119.

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