TP7 : Cette modélisation sous forme de jeu montre que la fréquence des allèles dans une population varie de manière aléatoire. Lors de la reproduction d'une génération à l'autre, seuls certains allèles sont transmis aux descendants. On parle de dérive génétique. La dérive génétique affecte toutes les populations mais elle est plus rapide dans les populations de pette taille.

TP8 : Dans une population donnée, les individus sont génétiquement différents et peuvent avoir des phénotypes différents. Face à la pression de sélection de l'environnement, les différents phénotypes présentes une survie et une reproduction différente dans un milieu donné. Les phénotypes les meix adaptés à l'environnement auront une meilleure survie donc une meilleure reproduction et donc laisseront plus de descendants. On a alors une augmentation de la fréquence allélique. Ce mécanisme évolutif est la sélection naturelle.

TP7+TP8 : Dérive génétique et sélection naturelle sont deux exemples de force évolutive qui influences l'évolution de la fréquence des allèles au fil des générations. Lorsque les différences génétiques entre deux populations sont importantes, elles sont à l'origine de la formation de nouvelle espèces (=spécialisation).