La durée de régularisation est de :
- 20 ans pour les immeubles ;
- 5 ans pour les biens meubles.
Le point de départ du délai se situe l'année d'acquisition de l'immobilisation et cette année compte dans le délai.
La période de régularisation
La durée de régularisation est de :
Le point de départ du délai se situe l'année d'acquisition de l'immobilisation et cette année compte dans le délai.
Les régularisations sont calculées à partir des coefficients de déduction, d'assujettissement, de taxation et d'admission de référence retenus pour le calcul de la déduction initiale.
Chaque année pendant la période de régularisation, l'entreprise compare le produit des coefficients d'assujettissement et de taxation de l'année (Coeff A) et le produit des coefficients d'assujettissement et de taxation de référence (Coeff R).
Si la différence entre ces deux produits est supérieure à 1/10, une régularisation doit avoir lieu.
NB : les coeff d'admission ne sont pas concernés
La régularisation au titre d'une année est égale au 1/5 du produit de la TVA initiale multiplié par la différence entre le coeff de déduction de l'année (CoDedA) et le coeff de déduction de référence (CoDedR).
La régularisation prend la forme d'un reversement de tout ou partie de la TVA initialement déduite (si le CoDedA est inférieur à CoDedR) ou d'un droit complémentaire à déduction (si CoDedA est supérieur à CoDedR).
Les mêmes règles sont applicables
La TVA relatives à ces biens ne peut faire l'objet d'une régularisation.
La TVA initialement déduite doit faire l'objet d'une régularisation lorsque certains événements interviennent avant l'expiration de la période de régularisation. Il en va ainsi notamment en cas de cessions d'immobilisations, de transfert entre secteurs d'activités ou de modification des règles de déduction par la loi.
Pour chacune des années restantes à courir, jusqu'au terme du délai de régularisation, le coeff de déduction est réputé égal à 0. L'entreprise cédante devra donc reverser de la TVA.
La période de régularisation
La durée de régularisation est de :
Le point de départ du délai se situe l'année d'acquisition de l'immobilisation et cette année compte dans le délai.
Les régularisations sont calculées à partir des coefficients de déduction, d'assujettissement, de taxation et d'admission de référence retenus pour le calcul de la déduction initiale.
Chaque année pendant la période de régularisation, l'entreprise compare le produit des coefficients d'assujettissement et de taxation de l'année (Coeff A) et le produit des coefficients d'assujettissement et de taxation de référence (Coeff R).
Si la différence entre ces deux produits est supérieure à 1/10, une régularisation doit avoir lieu.
NB : les coeff d'admission ne sont pas concernés
La régularisation au titre d'une année est égale au 1/5 du produit de la TVA initiale multiplié par la différence entre le coeff de déduction de l'année (CoDedA) et le coeff de déduction de référence (CoDedR).
La régularisation prend la forme d'un reversement de tout ou partie de la TVA initialement déduite (si le CoDedA est inférieur à CoDedR) ou d'un droit complémentaire à déduction (si CoDedA est supérieur à CoDedR).
Les mêmes règles sont applicables
La TVA relatives à ces biens ne peut faire l'objet d'une régularisation.
La TVA initialement déduite doit faire l'objet d'une régularisation lorsque certains événements interviennent avant l'expiration de la période de régularisation. Il en va ainsi notamment en cas de cessions d'immobilisations, de transfert entre secteurs d'activités ou de modification des règles de déduction par la loi.
Pour chacune des années restantes à courir, jusqu'au terme du délai de régularisation, le coeff de déduction est réputé égal à 0. L'entreprise cédante devra donc reverser de la TVA.